Apparence : Une couleur proche d'un café serré ou d'un coca, bien foncé. Devient plus brun-clair vers le haut du verre. Légère mousse.
Saveur : Une belle saveur chocolaté sombre cacao puissante et franche. Le piment se développe en fin mais très original. Amertume qui se développe en bouche sans être agressive.
Arôme : Arômes chauds et chocolatés qui se démarquent dès le début. Des arôme notable de chocolat, cacao avec des notes de gingembre et d tabac.
Il fait de plus en plus chaud dehors. Normal me diriez-vous, on est en plein été ! Mais je trouve qu'il fait particulièrement chaud cette année. La chaleur, c'est une des raisons pour laquelle je n'aime vraiment pas l'été. Il y fait vraiment trop chaud, on coule, on transpire et le pire c'est que des fois même une boisson fraîche ou s'aérer avec un éventail n'y change rien. Dans ces moments de chaleur, il est important de s'hydrater, et avec de l'eau ça va de soit, la bière n'étanche pas la soif réellement. Mais une fois la journée passée, quand le soir s'installe, les températures redescendent et sont plus supportables. On sort pastis, bière blanche, cocktail bien glacés. Mais il y a certains qui préfèrent sortir les bières plus lourdes, des bières sombres et puissantes. C'est ce que j'avais décidé de faire en sortant cette bière sulfureuse.
Ce n'était même pas moi qui avait choisi cette bière, ma mère m'en avait acheté une bouteille pour me la faire découvrir. Et autant dire que des fois, en effet elle me déniche de sacrés perles. C'est ainsi que j'ai découvert la brasserie Ribella, brasserie corse basée à Patrimonio. Cette brasserie autonome nous emmène aux côtés du diable pour une bière "que le diable lui-même ne renierait pas", sacré promesse ! Voici donc la Inferna, une Stout brassé avec un combo de gingembre, de piment et de tabac séché. Une idée originale et qui m'a d'autant plus que les bières qui promettent un peu de piment dans leur bières arrivent facilement à avoir mon attention, ce fût donc sans hésiter que je rejoignais alors le diable pour boire avec lui cette belle Inferna.
Pas de doute, c'est une bonne Stout, bien solide. Avant même de rentrer dans le sujet de la dégustation, la bière est vraiment noire de chez noire et le design de la bouteille est vraiment sympa. Au nez on retrouve bien les arôme de gingembre et de tabac, le piment est absent du nez. En revanche en bouche on retrouve bien la saveur chocolaté, avec un côté bien sombre cacao franc. Le gingembre reste discret mais présent, enfin, le piment se développe en fin, assez léger mais suffisamment présent pour le reconnaître et apporter un vrai plus à cette Stout.
Comme cette bière-ci, voilà une autre bière épicée mais cette fois-ci française ! Une Imperial Stout à 12% puissante et brassée avec du chili pour une final chaud et épicé !
Imperial Stout
La Débauche
France
Avec tout les albums que je connais et écoute, certains me demandent comment je fais pour découvrir autant de musique. Parce que j'écoute autant du jazz des années 60 que de l'hyperpop, de l'Ambient doux et calme ou de la Techno Industrielle bien agressive autant dire qu'il y a de tout que j'écoute. Mes découvertes, je l'ai fait principalement par le site RateYourMusic, énorme base de données musicale que laquelle je scrolle et surf en quête d'albums à écouter. Et des fois, c'est par des amis ou par des chaîne YouTube. Et puis il y a aussi toutes les playlists Spotify dans lesquelles on se perd très facilement on y retrouve de la musique classique au Death Metal infernal... Tiens d'ailleurs tant qu'à parler Death Métal des enfers... C'est notamment grâce à la chaîne de Maxwell que j'ai découvert Sadistik Exekution, le groupe associé à cette bière.
Sadistik Exekution, rien qu'au nom, on sent déjà que le groupe ne va pas être subtil dans sa musique, et ça c'est peu dire ! Le groupe Australien de Deathgrind/War/Black/Death Metal Australien se targue la réputation d'être un groupe violent, infernal et sans concession. FUKK, avant-dernier album du groupe est un festival de chaos infernal, bruitiste... et très vulgaire. Même dans le rap on ne retrouve pas autant de "FUKK" (orthographié comme ça oui) que chez Rok, membre fondateur et chanteur du groupe. FUKK est une bête déchaînée, c'est un album cru, pour lequel il faut s'accroche et savoir le supporter mais personnellement, c'est ce qui fait son charme. Se côté "métal d'homme des caverne rustre" c'est pas forcément ce que j'aime le plus, mais ce côté cathartique fait parfois du bien, et convient plutôt bien à la noirceur de l'Inferna.
